Commençons par un aphorisme provocateur : ceux qui ont critiqué le B2i et ses successeurs, ceux qui ont freiné sa mise en place sont en grande partie responsable du fait qu’aujourd’hui la culture technologique des enseignants soit aussi faible. Même ceux qui dénoncent cette faiblesse (comme l’article du Monde https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/11/27/la-formation-au-numerique-une-tache-immense-pour-l-education-nationale_5389089_3232.html) et tentent d’imposer aujourd’hui un …